Manot

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Manot
Manot
Manot surplombant la Vienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Jean-Luc Dedieu
2020-2026
Code postal 16500
Code commune 16205
Démographie
Gentilé Manotais
Population
municipale
541 hab. (2021 en diminution de 6,08 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 37″ nord, 0° 38′ 17″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 231 m
Superficie 20,34 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Confolens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Manot
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Manot
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Manot
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Manot
Liens
Site web www.manot.fr

Manot (Manòc en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Manotais et les Manotaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Manot est une commune de la Charente limousine située à 8 km au sud de Confolens, sur la rive gauche de la Vienne. Elle forme la pointe méridionale du canton de Confolens-Nord.

Manot est aussi à 8 km au nord-est de Roumazières-Loubert, 10 km au nord-ouest de Chabanais, 14 km au nord-est de Saint-Claud et 50 km au nord-est d'Angoulême. Limoges est aussi à 50 km[2].

La principale route est la D 16 de Montmoreau à Confolens par La Péruse, qui dessert le bourg de Manot et longe la Vienne. La D 166 qui franchit la Vienne mène à Roumazières au sud-ouest. La D 170 et la D 346 convergent aussi au bourg[3].

La ligne Angoulême-Limoges traverse l'extrême sud de la commune. La gare la plus proche est celle de Roumazières, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

L'ancienne ligne Roumazières-Confolens traverse la commune et est réemployée touristiquement par le vélo-rail. L'ancienne gare sert de point de croisement.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les hameaux sont nombreux et généralement assez importants : les Monts, dans le centre de la commune; Assit, au sud ; le Vieux Fougerat et le Jeune Fougerat, dans le nord de la commune ; Vicroze, au nord du bourg ; le Buisson ; Gandrieux, sur la route de La Péruse ; la Goutrie, près de la Vienne ; la Jourlie et le Maine, près du bourg ; Chez Patrie, dans l'ouest ; Cachedenier, les Vergnes, le Couret, etc.[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Comme toute cette partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune de Manot se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

Le granit occupe une grande moitié orientale de la commune, sur toute sa longueur. Les plateaux à l'ouest de la commune sont couverts d'arènes argilo-sableuses. La vallée de la Vienne est occupée localement par des alluvions (argiles, sables, graviers, galets)[4],[5],[6].

Des collines élevées séparent le bassin de la Vienne de celui de la Charente, et couvrent une notable partie de la commune. La commune occupe un plateau vallonné incliné vers la vallée de la Vienne qui borde la commune à l'est, d'une altitude moyenne de 210 m. Le territoire communal culmine à 231 m d'altitude, en limite sud-ouest, à l'ouest des Monts; le point le plus bas est 132 m en bord de Vienne, au nord en limite de la commune d'Ansac. Le bourg est à environ 160 m d'altitude, dominant la rivière[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Manot.

La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7] et pour partie dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[8]. Elle est drainée par la Vienne, le Braillou le ruisseau de l'Etang Péruse et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La commune est située sur la rive gauche de la Vienne, en amont de Confolens et en aval de Chabanais[10]. De nombreuses sources et petits étangs parsèment son territoire, et des ruisseaux parfois temporaires affluent vers la Vienne, comme le ruisseau de Gandrieux au sud, le Praloux au bourg, le Turliquet au nord, et le Ris Mort en limite d'Ansac[3].

Le Braillou, affluent de la Charente à Ambernac, a sa source à l'ouest.

La ligne de partage des eaux entre Charente et Loire traverse l'ouest de la commune[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Vienne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[11]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].Le SAGE « Vienne», dont le territoire correspond au bassin du bassin de la Vienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[13]. Il est quant à lui une déclinaison du SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [14].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Manot est une commune rurale[Note 1],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Confolens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,4 %), forêts (19,3 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %), terres arables (3,6 %), eaux continentales[Note 3] (2,9 %), zones urbanisées (1,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Manot est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995 et 1999[23],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Manot.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain[24].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 394 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 33 sont en aléa moyen ou fort, soit 8 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et Vassivière, des ouvrages de classes A[Note 4]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Manot est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est attesté sous la forme ancienne Monoco (non datée)[30].

Selon Dottin, l'origine du nom de Manot remonterait à un nom de personne gaulois à la racine Mano-[31]. Selon Dauzat, il s'agirait d'un suffixe pré-indo-européen *man- signifiant « rocher », « hauteur », avec suffixe -occum[32],[Note 5].

Langues[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[33]. Elle se nomme Manòc en occitan[34].

Histoire[modifier | modifier le code]

Une voie antique, supposée romaine, reliant Périgueux à Poitiers, passait sur les crêtes séparant le bassin de la Vienne et celui de la Charente, au Couret, du sud au nord[35].

Au Moyen Âge, Manot était sur un itinéraire transversal d'un chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui se dirigeait du Limousin vers Angoulême pour bifurquer vers Saintes (reliques de saint Eutrope), Blanzac (vers Blaye) ou Aubeterre (vers Sainte-Foy-la-Grande)[36].

Près de l'église, on peut remarquer une grande maison de style Louis XIII et de construction assez massive, ayant appartenu à la famille de Salignac-Fénelon.

Cette famille, dont le membre le plus remarquable et le plus connu est l'illustre archevêque de Cambrai, François de Salignac de La Mothe-Fénelon, dit Fénelon, étaient de grands seigneurs en Périgord et ne tenaient guère au mince fief de Manot.

Aussi, en 1630, messire Pons de Salignac, seigneur baron de La Mothe-Fénelon, aliéna-t-il une partie de cette terre au profit de François Barbarin, écuyer, seigneur de Chambes.

Cependant la famille conserva le château de Manot, qu'elle possédait encore à la Révolution.

Au début du XXe siècle, l'industrie était représentée par deux moulins sur la Vienne. La ligne de chemin de fer de Roumazières à L'Isle-Jourdain par Confolens desservait la commune, et la gare de Manot était située à un kilomètre du bourg.

Des foires, encore importantes au début du XXe siècle, se tenaient au bourg le 25 de chaque mois[37].

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2008 Michel Lascoux    
2008 En cours Jean-Luc Dedieu SE Comptable, premier Vice-président de la Communauté de communes

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

En 2021, la commune comptait 541 habitants[Note 6], en diminution de 6,08 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 0481 2141 0791 2821 2981 3201 3401 3531 345
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 1961 1641 1241 2401 5131 2691 2751 2121 160
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 1611 009885821802770684687708
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
681672590584576589591581550
2021 - - - - - - - -
541--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,7 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 263 hommes pour 283 femmes, soit un taux de 51,83 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,7 
11,1 
75-89 ans
11,1 
25,7 
60-74 ans
22,5 
22,7 
45-59 ans
26,8 
14,6 
30-44 ans
14,2 
13,7 
15-29 ans
10,7 
11,8 
0-14 ans
13,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Ansac et Manot. Ansac accueille une école primaire (élémentaire et maternelle), Ratier-Lacouture, et Manot une école élémentaire, située au bourg et comprenant deux classes. Le secteur du collège est Confolens (Noël-Noël)[44].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Fénelon : François de Salignac de La Mothe-Fénelon (, château de Fénelon - , Cambrai), dit Fénelon, est un homme d'Église, théologien et écrivain français, et dont la famille possédait la terre de Manot.
  • Yves Lecoq, célèbre humoriste et imitateur français, possède également une résidence sur la commune depuis plusieurs années.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
  5. A.Dauzat explique par cette même racine les noms des communes de Mane (Alpes-de-Haute-Provence et Haute-Garonne), et Manosque
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Manot » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c d et e Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le ).
  9. « Fiche communale de Manot », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. Sandre, « la Vienne »
  11. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  12. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « SAGE Vienne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  14. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le ).
  15. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Manot », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Manot », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. Article R214-112 du code de l’environnement
  28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  30. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 48
  31. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
  32. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 430.
  33. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  34. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  35. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 125
  36. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9,57
  37. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 229
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Manot (16205) », (consulté le ).
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  44. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  45. « Église de Manot », notice no PA00104410, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  46. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p.
  47. « Moulin d'Assit », notice no IA00066320, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Boulanger P. (2003) - Manot en Charente Limousine, Imprimerie Eclaircy, Confolens, 2003.
  • Dujardin V., Moineau É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, n° 243, Geste éditions, 2007.

Liens externes[modifier | modifier le code]